Environnement: La Francophonie consulte la jeunesse
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A Abidjan, deux bus bleus aux belles sonorités occupent désormais la place de l’ancien quai. Là où des milliers d’étudiants se retrouvaient pour expier leur galère dans l’attente des bus.
La question des organismes génétiquement modifiés (OGM) reste une des plus sensibles depuis la fin du 20e siècle même si elle est presque détrônée par la question de l’homosexualité. Depuis l’avènement des OGM dans l’agriculture, dans les années 90 et la volonté de diffuser leur utilisation, des vagues de mouvements se sont érigés contre. On a mobilisé partout, cultivateurs et consommateurs à se lever pour défendre leurs intérêts. Les tiraillements…
Jacqueville n’est pas loin d’Abidjan. Seulement 20 km environ de bitume et 30 minutes de voiture, si le bac, sempiternellement en panne et en retard, daigne se pointer à l’heure. C’est une ville propre et tranquille. L’histoire de la ville est liée à celle de pont. Aujourd’hui ce pont émerge, tandis qu’à quelques kilomètres, à l’entrée, la porte, pardon la voie d’entrée, s’enlise.
Les ivoiriens, n’ont pas seulement l’art de tout tourner en dérision et de faire de tout sujet de drame un prétexte de création de nouveaux concepts musicaux ou des raisons d’investir les maquis pour se saouler le bec…, ils ont aussi l’art d’oublié. L’odieuse et inique affaire du bateau hollandais Probo Koala en 2006 devenue dans les railleries populaires Probo koulaba (vase de nuit en dioula) – qui dans le…
Les peintures à huile à usage domestique ou peintures décoratives à base d’émail fabriquées et vendues en Côte d’Ivoire sont, en grande partie « bourrées de plomb ». Parce que contenant une concentration extrêmement élevées de plomb, elles constituent des dangers certains pour les enfants et les femmes enceintes en particulier et l’homme en général et posent un problème préoccupant de santé environnementale. Cette annonce – inquiétante – a été faite à…
Les ivoiriens peuvent s’accorder. Très peu de boulangeries dans la capitale, tout comme celles à l’intérieur du pays ont recours à des professionnels, issus des rares écoles de boulangers, pour la fabrication du pain. Une façon peut-être pour les propriétaires de fuir les salaries dignes et leurs cortèges de revendications. Comment le constater, le penser et ne pas le dire ? Les ivoiriens aiment le pain comme leur garba national. Ils le consomment comme toute nourriture sans toutes fois…